Rigolet, Nunatsiavut
![]() Année du financement: 2013-2014
Domaine: Santé mentale Personne-ressource: Charlotte Wolfrey, gouvernement de la communauté inuite de Rigolet (charlotte.wolfrey@nunatsiavut.com) Partenaires: « My Word » : Storytelling and Digital Media Lab, Groupe de recherche sur l’adaptation aux changements climatiques de l’Université McGill, projet « Indigenous Health Adaptation to Climate Change » de McGill, projet « Inuit Traditional Knowledge for Adapting to the Health Effects of Climate Change » de McGill, ministère des Terres et des Ressources naturelles du gouvernement du Nunatsiavut, ministère de la Santé et du Développement social du gouvernement du Nunatsiavut, gouvernements communautaires inuits de Rigolet, de Makkovik, de Postville, de Hopedale et de Nain Site Web: http://www.townofrigolet.com/home Titre : Favoriser la santé mentale et la résilience des jeunes face au changement climatique
Mesure : Ce projet a permis d’élaborer, de concevoir, d’élargir et d’entreprendre des recherches et des programmes réactifs visant une collectivité particulière en vue d’accroître les capacités de résilience et d’adaptation au changement climatique dans chacune des cinq collectivités du Nunatsiavut au moyen de deux stratégies relatives aux programmes : l’élargissement du programme Aullak, sangilivallianginnatuk : Going off, Growing Strong (« s’éloigner pour mieux grandir ») à Nain et à Hopedale, et la création et la mise à l’essai du programme IlikKuset-Ilingannet!/Culture-Connect! Résultats : Chacun des jeunes a passé près de 30 heures avec chaque mentor, ce qui correspond à un total d’environ 150 heures de programme pour chaque jeune. Près de 750 heures ont été consacrées au contact entre le jeune et le mentor dans chaque collectivité. Au total, le programme a permis d’accorder environ 2 250 heures aux jeunes et aux mentors. En outre, les jeunes interagissaient régulièrement entre eux et avec le coordonnateur local de chaque collectivité, pendant cinq ou sept heures par semaine dans le cadre de ce programme, ce qui a totalisé près de 150 à 200 heures de contact supplémentaires dans chaque collectivité. La majorité des participants ont convenu qu’un programme culturel comme celui-ci pourrait représenter une stratégie d’adaptation importante, durable et efficace pour la collectivité, puisqu’il permet d’établir un lien avec la culture même s’il est impossible de s’éloigner des autres dans les terres; le programme est relié à des facteurs de protection connus (p. ex. être en contact avec la culture, la famille et la collectivité; renforcer les compétences; améliorer la confiance et l’estime de soi; donner de l’espoir quant à l’avenir; nouer des relations positives avec ses pairs et les adultes). Le programme IlikKuset-Ilingannet!/Culture-Connect! a été, à tous les égards, une véritable réussite. Fort utile, il a bénéficié d’un soutien adéquat et a présenté une foule d’avantages. Produits: Un documentaire du projet a été réalisé et présenté à la collectivité. Ressources additionnelles et publications
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